Villa Medicea La Petraia

Publié le 18 Septembre 2016

Toscane - Villa Medicea La Petraia - Photos: Lankaart (c)

Toscane - Villa Medicea La Petraia - Photos: Lankaart (c)

Villa La Petraia -

" La fortune économique, financière et politique des Médicis est à l’origine de mécénats multiples et décisifs dans l’histoire culturelle et artistique de l’Europe moderne. Parmi les types architecturaux et esthétiques qui en résultèrent, les villas médicéennes en harmonie profonde avec leurs jardins et leur environnement rural sont parmi les plus originaux de la Renaissance italienne. Le bien proposé pour inscription est une sélection de douze villas complètes, avec leurs jardins, et de deux jardins d’agrément supplémentaires disséminés dans la campagne toscane et aux abords de Florence. La villa médicéenne et ses jardins incarnent un idéal d’habitation princière à la campagne permettant de vivre en harmonie avec la nature, et dédié tant aux loisirs qu’aux arts et à la connaissance." UNESCO

"En 1364, le palagio della Petraia appartenait à la famille Brunelleschi. En 1422, Palla Strozzi l'a acquis en lui ajoutant les terres adjacentes. Au XVIe siècle, la villa devint la propriété des Salutati, qui la vendent ensuite à Cosme Ier de Médicis qui, en 1544, la donne à son fils, le cardinal Ferdinand en 1568.

Les travaux d'embellissement de 1566 furent étendus par Ferdinand, devenu Grand-duc en 1587, qui le transforma en une résidence digne d'un Prince. En 1589, la villa est assignée à son épouse Christine de Lorraine pour ses noces. La villa passe sous l'apanage de Don Antonio de Médicis en 1609." Wikipedia

Toscane - Villa Medicea La Petraia - Photos: Lankaart (c)
Toscane - Villa Medicea La Petraia - Photos: Lankaart (c)
Toscane - Villa Medicea La Petraia - Photos: Lankaart (c)
Toscane - Villa Medicea La Petraia - Photos: Lankaart (c)

Toscane - Villa Medicea La Petraia - Photos: Lankaart (c)

Rédigé par rafael

Publié dans #PARCS et JARDINS, #ITALIE, #RENAISSANCE ITALIE

Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article