Duke Ellington et son orchestre

Publié le 16 Février 2011

 

 

 

 

Duke Ellington - It don't mean a thing (1943)

 

Edward Kennedy Ellington était un pianiste, compositeur et chef d'orchestre américain né le 29 avril 1899 à Washington et mort le 24 mai 1974 à New York.

 

Son orchestre comprenait des musiciens qui étaient parfois considérés, tout autant que lui, comme des géants du jazz. Quelques uns de ces grands musiciens sont restés dans son orchestre pendant des décennies. Certains d'entre eux étaient dignes d'intérêt par eux-mêmes, mais c'était surtout Ellington qui les transformait en l'un des orchestres les plus connus de l'histoire du jazz.

 

 

Il avait l'habitude de composer spécifiquement pour certains de ses musiciens en tenant compte de leurs points forts, comme par exemple « Jeep's Blues » pour Johnny Hodges, « Concerto for Cootie » (« Do Nothing Till You Hear from Me ») pour Cootie Williams et « The Mooche » pour Joe Nanton. Il a aussi enregistré des morceaux composés par les membres de son orchestre, comme « Caravan » et « Perdido » de Juan Tizol. Après 1941, il collabore fréquemment avec le compositeur et arrangeur Billy Strayhorn qu'il appelle son alter ego. Il a laissé au jazz de très nombreux standards.

 

 

Duke Ellington - Satin Doll

 

 

 

Duke Ellington, Caravan, Juan Tizol 1952

 

 

 




Miles Davis se produit pour la première fois en Europe avec divers groupes. Il enchaîne disque sur disque en accompagnant Sarah Vaughan, Sonny Rollins, Art Blakey, Horace Silver, Charles Mingus, Theolonious Monk, autant de noms qui jalonnent l'histoire du jazz. Et la série n'est pas finie : en 1955 il décide de constituer sa propre formation en qualité de leader, avec John Coltrane, Red Garland, Philly Joe Jones et Paul Chambers. Miles Davis aime beaucoup l'Europe, et notamment la France. […]



Rédigé par rafael

Publié dans #ART MODERNE

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