Dali - peinture chrétienne

Publié le 14 Mai 2018

Le Christ de Saint-Jean-de-la-Croix (1951), La Cène (1955), Corpus Hypercubicus (1954). 
Le Christ de Saint-Jean-de-la-Croix (1951), La Cène (1955), Corpus Hypercubicus (1954). 
Le Christ de Saint-Jean-de-la-Croix (1951), La Cène (1955), Corpus Hypercubicus (1954). 
Le Christ de Saint-Jean-de-la-Croix (1951), La Cène (1955), Corpus Hypercubicus (1954). 

Le Christ de Saint-Jean-de-la-Croix (1951), La Cène (1955), Corpus Hypercubicus (1954). 

Dans les années 30 et 40 l'orientation de l'oeuvre de Dali  est déjà clairement établie: on y trouve le souvenir constant des paysages de son enfance, l'exploitation systématique de toutes les formes de délire par la méthode paranoïaque-critique, ainsi qu'un goût très prononcé, typiquement surréaliste, pour ces régions à la limite de l'humain, où l'épique, le mystique et l'érotisme se rejoignent dans le sublime. Cette oeuvre singulière parfois déconcertante par ses excès, connait les variations les plus diverses tant par le style - qui va de l'utilisation de l'improvisation tachiste au réalisme emphatique de la Renaissance en passant par l’emploi de la photographie - que par les thèmes abordés: l'onirisme des montres molles (Persistance de la mémoire), l'esprit religieux ou le mysticisme, l'érotisme omniprésent, les allusions politiques ou les références culturelles comme celles à l'Angélus de Millet ou à la Dentellière de Vermeer, ou aux peintres pompiers.

Après la guerre, dans les années 50,  prodigue en images comme en paroles, Dali ne cesse d'étonner par sa profusion, son exubérance, son orgueil. Son oeuvre s'oriente résolument vers le mysticisme et la religion.   C'est dans un réalisme très minutieux, utilisant les effets de perspectives et de trompe-l'oeil, qu'il peint : Le Christ de Saint-Jean-de-la-Croix (1951), La Cène (1955), Corpus Hypercubicus (1954). 

Rédigé par rafael

Publié dans #ART MODERNE

Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article